L'appel des origines

Tanaris…

Frappé par un soleil de plomb, l’immense désert de sable blanc apparaissait comme hostile et sauvage. Balayées par un vent sec qui semblait vouloir traverser même la plus dense des pierres, les longues dunes claires s’étiraient à l’horizon vers l’inconnu.
Soudain, au loin, surgit une forme grande et fine, marchant prudemment à travers cette zone si peu amicale. Derrière lui de grandes traces de pieds, deux gros orteils… c’était un troll.
Habillé d’une grande robe aux couleurs chatoyantes, Kaamocz errait depuis un moment déjà et ne savait pas trop pourquoi ni pour qui surtout il était venu ici. Les voix dans sa tête résonnaient depuis des jours sans cesse, depuis cette rencontre avec les sables corrompus des Terres Foudroyées.

C’était un jour comme un autre, ou presque. Il avait fait la rencontre du Héros déchu de la Horde dans les Marais des Lamentations, personnage mythique s’il en est, et pour venger sa mort, Kaamocz avait combattu vaillamment les démons qui l’avaient fait trépasser. Vaillament, certes, mais malheureusement il mordit la poussière lorsque furtivement et sournoisement il fut attaqué dans le dos par deux esclaves des ténèbres.
Etrangement, à ce moment là, son corps allongé sur le sol près du Portail de l’Ombre, meurtri par les coups de ses assaillants, il eut une vision.
Il voyait une plaine blanche et immaculée au milieu de laquelle se dressait une ombre ou un objet de grande taille. Il ne put cependant affirmer avec précision de ce qu’il s’agissait. Autour de cette forme mystérieuse se dressaient des colonnes de pierre et au loin il voyait de grandes montagnes aux pics abrupts. Du fond de son âme, il entendit cette voix lui répéter sans cesse :
« Kaamocz, viens à moi… »
Brusquement réveillé par un groupe d’orcs venus lui porter secours, Kaamocz ne réalisa pas tout de suite ce qui lui était arrivé mais ses pensées n’arrêtaient pas de se poser sur cette ombre si intrigante qui lui avait fait apparemment signe de venir à elle.

Secoué mais décidé à y voir plus clair, il remercia les orcs, enfourcha son fidèle raptor, et parti rapidement pour Sen’Jin, son village d’origine où son maître l’aiderait sûrement à trouver des réponses au pourquoi de sa vision.

Qui est donc cette ombre ? Le maître de Kaamocz pourra-t-il lui donner les réponses qu’il attend ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

Arrivé à Stonard, Kaamocz ne prit même pas le temps de panser ses blessures et se restaurer avant de commencer son periple vers sa terre natale. Il se dirigea vers le maître des wyvernes et partit en direction d’Undercity.
Bercé par les mouvements fluides de sa monture volante, le vent caressant son visage doucement, ses pensées partaient à l’exploration de cette vision, cherchant à reconnaître cet endroit qui lui était apparu vaguement mais semblait familier en certains points. D’abord tenté de croire que les montagnes environnantes étaient celles de Mulgore, qu’il avait visitées à l’époque aux côtés de son ami Zanarkan, Kaamocz se ravisa en repensant à ces colonnes qui se dressaient aux côtés de l’ « ombre ». Où avait-il vu ces colonnes ? Il n’arrivait pas à s’en souvenir. L’esprit confus et le corps fatigué et douloureux il s’endormit tranquillement après s’être solidement harnaché à la selle du volatile.

« Hé ! Réveille-toi mon gars ! » dit une voix grave et rauque.

Kaamocz se réveilla en sursaut. Il était à Undercity et la personne qui lui parlait n’était autre que le maître des wyvernes, le secouant énergiquement.

« Merci mon ami. Désolé, je me suis endormi. » dit-il l’air hagard.

Puis Kaamocz partit en direction des ascenseurs.
Arrivé à la porte de la ville une voix l’interpella :

« Hé Kaam ! Comment va ? Tu m’as l’air palot. »

C’était Confusion, guerrier émérite ayant combattu sans relâche les vils patriotes de l’Alliance. Assis fièrement sur sa monture, dans le dos sa lame brillante encore tachée du sang d’une bataille héroïque, il guettait l’ennemi. C’était pour Kaamocz un guide pour lequel il avait beaucoup de respect et d’admiration, leader incontesté de la guilde à laquelle il appartenait depuis son enfance. Il écouta le récit de la mésaventure du troll en détail.

« Hmm c’est effectivement bizarre tout cela, dit Confusion. J’irai faire un tour à la bibliothèque d’Undercity pour voir si je glane quelques infos sur ce portail. » puis il partit sur son destrier en direction des Hauts Plateaux d’Arathi en quête de combats sanglants.

Soulagé de pouvoir compter sur un allié, Kaamocz gravit la colline qui séparait Undercity de Brill en direction de la tour des zeppelins.
Les jambes encore douloureuses chaque marche était cependant un effort et ce ne fut pas sans peine qu’il arriva en haut pour attendre patiemment le prochain voyage en direction d’Orgrimmar.

Confusion va-t-il pouvoir aider Kaamocz dans sa quête ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

Arrivé sur les terres arides de Durotar, Kaamocz contempla la beauté du paysage. Sur les crêtes tranchantes des Falaises du Tonnerre, le soleil brillait d’un rouge-orangé éclatant. Au loin, les nuages s’étiraient en de longues bandes fines qui se perdaient à l’horizon vers les Tarides. Ca et là quelques sangliers sauvages vagabondaient à la recherche de quelques herbes si rares en cet endroit pauvre et sec.
Déjà il voyait le va-et-vient des combattants de la Horde qui entraient et sortaient d’Orgrimmar, capitale des Orcs et refuge de sa race, spoliée de son royaume. Mais il ne s’y arrêterait pas. Il prit la direction du sud sur la route qui rejoint Tranchecolline et après quelques minutes se retrouva enfin dans son village natal, Sen’Jin, qu’il n’avait plus vu depuis déjà longtemps.
Hâtivement, il entra dans la petite cahute de bois et de paille de son maître et s’écroula. L’émotion certainement, liée à toutes ces choses qui lui étaient arrivées, le soulagement de retrouver les siens, c’en fut trop pour lui, son corps n’en pouvait plus.
Son maître se précipita pour tenter de le réveiller. En vain. Il le porta dans une petite couchette de paille à même le sol et commença à panser ses blessures qui risquaient de s’infecter.

Kaamocz resta endormi durant toute une journée, il se réveilla enfin et découvrit son maître qui était à ses côtés et le surveillait patiemment.

« Par Vol’Jin, Kaamocz, que t’es-t-il arrivé ? »

L’histoire racontée en détail, le maître réfléchit longuement à ces faits si mystérieux. Il se leva et alla chercher dans une petite étagère un ancien grimoire, l’ouvrit et consulta quelques textes anciens et des cartes.

« Tu vois mon ami, les colonnes dont tu m’as parlé pourraient être n’importe où. Au Convent de Mannoroc à Désolace, dans les ruines d’Eldarath à Azshara que sait-je. Mais ce qui m’a interpellé est sans doute la blancheur de cette plaine. », le maître réfléchit un instant, « Il n’existe, aussi loin que je me rappelle, que deux endroits sur Kalimdor où la blancheur du sable est aussi frappante. Les Salines et Tanaris. Cependant, je ne suis pas convaincu que les ruines au sud des Salines soient celles que tu cherches. »
« Bien maître. », répondit Kaamocz, « J’irai donc à Tanaris dès demain pour chercher ces fameuses colonnes. J’espère trouver une réponse à tout cela. Mon esprit est obnubilé par cette vision et je pense réellement qu’il s’agit de quelque chose d’important. »
« Entendu cher disciple, repose-toi, ton voyage vers Tanaris sera long il te faut des forces. Et n’oublie surtout pas cela Kaamocz, méfie-toi du vaudou. »

Avant d’aller se coucher Kaamocz sortit un instant du village pour aller se ressourcer sur la plage. Face aux Iles de l’Echo, assis sur le sable, le regard perdu au loin vers la Grande Mer, il essayait pour un instant d’occulter ces images qui revenaient sans cesse. Il pensait à ses amis, sa guilde, et ne voulait pas croire que cette vision pourrait changer sa vie. Mais l’importance de cet événement était si grande pour lui qu’il savait que son destin lui réservait un avenir auquel il n’aurait jamais osé croire.
De retour dans sa hutte, Kaamocz se coucha et dormit d’un sommeil profond.

Ayant enfin un endroit où chercher, Kaamocz trouvera-t-il enfin des réponses à ses questions ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

L’aube s’était levée sur Sen’Jin. Une fine brume matinale recouvrait les frêles huttes de paille du village et s’étirait jusqu’à la plage en contrebas, masquant les vagues qui venaient s’échouer sur le sable fin. Seul le bruit de l’eau et le chant de quelques oiseaux qui virevoltaient çà et là accompagnaient les derniers préparatifs de Kaamocz pour son périple.
De l’eau, des provisions, quelques potions et un peu de matériel, c’était tout ce dont il avait besoin. Il ne fallait pas trop charger le raptor, sous ses apparences robustes l’animal ne supporterait pas un si long voyage avec trop de poids. Il vérifia encore les attaches, donna une petite tape amicale au cou de sa monture puis l’enfourcha.
Kaamocz partit ainsi sur les routes de Kalimdor, sans un regard en arrière pour son village, il savait que bientôt il reviendrait voir les siens.

Les vastes plaines des Tarides se présentaient devant lui, avec leurs troupeaux de gazelles suivies de leurs petits. De temps en temps il croisait une girafe, majestueuse et paisible, qui passait d’arbre en arbre pour brouter quelques feuilles. Plus au sud, les énormes lézards-tonnerre côtoyaient les farouches hyènes en quête d’une proie.
Kammocz évita de passer par La Croisée et Taurajo pour ne pas croiser les jeunes combattants de la Horde qui travaillaient à l’éradication des Hurans qui pullulaient le long des montagnes à l’est et à l’ouest. Ils avaient trop tendance à quémander les services des combattants chevronnés tels que lui sans leur marquer un réel respect et cela l’agaçait. Il redoutait de les voir un jour à ses côtés dans les hautes sphères de la société d’Elune.

Après une longue chevauchée les ascenseurs de la Grande Elévation étaient en vue. Milles Pointes s’ouvrait à lui avec ses immenses pics abrupts taillés par les vents qui s’engouffraient dans la vallée. Des milliers d’années d’érosion avaient fait de cet endroit une place unique et si spéciale qu’elle émerveillait à chaque fois le voyageur qui la traversait. Le nez en l’air, Kaamocz passa rapidement devant le Poste de Librevent en faisant un geste amical aux gardes en faction puis continua sa route à travers la blancheur déserte des Salines. Tanaris était droit devant.

Ainsi arriva-t-il à Gadgetzan, bastion des gobelins et dernier refuge avant l’aride désert qui s’ouvrait à l’horizon aussi loin que pouvait porter le regard. Il entra dans l’auberge pour se reposer de son si long voyage et aussi peut-être trouver quelques informations auprès des habitants de la région sur les colonnes qu’il avait vues dans sa vision.

« Holà l’aubergiste », dit Kaamocz, « Connais-tu par hasard une personne qui ait exploré tous les recoins de ce désert ? »
L’aubergiste réfléchit un instant.
« Hmm, oui je crois bien que Ziblik doit pouvoir t’aider voyageur. Il habite de l’autre côté de la ville. »

Dans une petite maison appuyée contre les murailles de la ville, Kaamocz rencontra ledit Ziblik, un vieux gobelin au regard profond visiblement amateur d’exploration au vu des divers souvenirs disposés sur les quelques meubles de la masure. Il s’empressa de lui parler de ces fameuses colonnes perdues au milieu du désert.

Quelles réponses Kaamocz va-t-il recevoir de ce fameux gobelin ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

Le gobelin parlait lentement, pesait chacun de ses mots comme si il cherchait à sonder l’esprit de Kaamocz pour savoir où il voulait en venir. Ses yeux scrutaient la moindre de ses réactions et le troll se sentait de plus en plus mal à l’aise face à ce regard insistant. La discussion sembla durer des heures et pourtant elle ne dura pas plus de quelques minutes. Juste le temps pour l’explorateur d’indiquer l’endroit le plus probable que le troll recherchait.

Visiblement secoué, Kaamocz sortit de la masure et se dirigea à nouveau vers l’auberge pour y prendre un de ces petits remontants dont seuls les nains ont le secret. L’aubergiste, toujours aussi curieux, questionna le troll à l’air dépité.

« Ben alors l’ami ? T’as l’air d’avoir vu un fantôme. Bois ça tu verras tu te sentiras mieux après. »
Le troll empoigna le petit verre que l’aubergiste lui tendait, jeta un regard vide sur le liquide brun et très odorant qui s’en dégageait, puis l’avala d’un trait.
« Ohlala toi tu vas me dire ce qu’il se passe. »

Kaamocz lui résuma l’histoire rapidement, son accident, son périple et les images dans sa tête. Puis il lui parla du gobelin et de son histoire.

« Ces colonnes, au sud-ouest d’après le gobelin, semblent avoir été construites bien avant l’arrivée des êtres vivant tels que nous sommes aujourd’hui. Il semblerait que des élémentaires voulaient laisser une trace sur Kalimdor afin de ne pas se faire oublier et afin que les hommes garde un grand respect pour leur Terre. »
Kaamocz se prit la tête entre les mains.
« Je ne comprends pas… ces images dans ma tête… je dois… partir. »

Sans demander son reste il courru vers l’extérieur de l’enceinte de la petit cité perdue dans ce désert blanc, sans se retourner.

Dans son empressement, Kaamocz ne prit même pas le temps de préparer quelques provisions, de l’eau ou quoi que ce soit qui eut pu l’aider durant le reste de son voyage. Il courrait tout droit, à travers les ruines et les ossements d’animaux énormes qui jonchaient le sable. Sans cesse ces images lui martelaient la tête et les voix se faisaient de plus en plus pressantes.
« Kaamocz, tu dois me rencontrer… »

Epuisé, déshydraté, à la limite de la folie, le troll s’écroula sur le sol meuble de Tanaris. Il perdit conscience.

Kaamocz va-t-il sombrer dans la folie ? Va-t-il enfin découvrir les tours étant si près du but ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

Le soleil était brûlant, la chaleur étouffante, le vent ne laissait aucun répit et l’on ne pouvait voir au loin. Kaamocz, couché dans le sable chauffé à blanc, se remettait gentiment de sa fuite, de cette course effrénée contre lui-même, contre ses voix qui le suivaient, qui ne le quittaient jamais.

Se relevant difficilement il reprit la route, du moins il essayait. La tempête lui avait fait perdre tout point de repère et il marchait lentement. Ses membres étaient douloureux, la peau lui brûlait. Se dirigeant tant bien que mal grâce au soleil il reprit la direction du sud-ouest, c’était à présent la seule chose qu’il lui permettait de rester debout. Il voulait savoir et il était trop près du but pour renoncer, non... pas lui.

Au bout de plusieurs heures de marche il arriva au somment d’un dune, s’assit puis esquissa un large sourire. Là, devant lui, comme le gobelin lui avait indiqué, se dressaient deux immenses colonnes. A présent il en était sûr, c’était bien ici qu’il devait venir, c’était bien cet endroit qu’il voyait sans cesse dans son esprit. D’ailleurs il se rendit compte que tout à coup les images et les voix avaient cessé, ne restait plus devant lui que le vide énorme d’un silence de mort, d’un silence qu’il avait tant désiré. Il se sentait apaisé, comme si les douleurs tout le long de son corps disparaissaient.

Sans précipitation il descendit le long de la dune et rejoint les tours.

Il gravit quelques marches puis s’assit entre les deux colosses. Il ne savait pas trop quoi faire alors il attendit. Le regard plongé à l’horizon il laissa ses pensées s’échapper. Il appréciait ce moment de solitude avec lui-même.

Soudain, le sol se mit à vibrer, doucement. Le vent, qui s’était calmé quelque peu, reprit de plus belle. Le sable tournoyait devant lui de plus en plus vite formant un tourbillon de plusieurs mètres de haut. Kaamocz, surpris par ces événements se releva et contempla cette manifestation de la nature, il n’avait pas peur étonnamment et restait serein devant la puissance de la tornade quand tout à coup il entendit son nom.

« Kaamocz ! Tu es donc venu. »

Les yeux exorbités par l’apparition qui venait de se former devant lui, Kaamocz ne pouvait y croire. La forme qui s’était matérialisée devant lui n’était autre qu’un élémentaire. Il n’osait plus bouger, tétanisé, il ne savait pas comment réagir.

« Mais… qui êtes vous ? »

Kaamocz a enfin trouvé la source de ses visions… mais qui est cet élémentaire ? Vous saurez cela dans le prochain épisode…

mais heu, moi qui croyais pouvoir lire enfin toute l'histoire...ya pas la suite

Pff, ça c'est Kaam tout craché. Nous faire attendre le plus longtemps possible et prendre plaisir à nous voir réclamer la suite

Et bien non....et puis si....c'est quand la suite, hein dis

Suspens insoutenable, j'aime la description des paysages qui en un clin d'oeil me transporte vers Azeroth...alors que je suis dans mon bureau guettant la fin de la journée, rêvant aux quêtes épiques du vendredi soir...

Je ne voudrai pas pousser Oh ! Maître Kaam ! ...mais la suite c'est pour quand

Effectivement je devrais m'y remettre... quel mauvais artiste je fais.

Mais l'inspiration me reviendra.

« Kaamocz, je suis celui que tu représentes, je suis celui qui vous a guidés, toi et tes amis tout au long de ces années, je suis celui qui vous a soudés dans les moments les plus durs, je suis celui qui vous a soutenu, j’ai toujours cru en vous. »

L’élémentaire se tut. Le silence était pesant. Le troll réfléchit un instant, puis soudain son regard s’éclaira.

« Ca y est, j’ai compris ! Vous êtes… », l’élémentaire le coupa net.
« Oui, Kaamocz, je suis l’Elémentaire de Sable. Je représente le nom de ta guilde. Je suis celui qui vous a réunis, vous, mes dignes petits Sabliers. Vous êtes mes fiers représentants et j’en suis très content. Vous avez su garder la modestie que certains n’ont pas eue, vous avez su garder la tête haute même dans les moments les plus durs, vous avez mérité d’être sous ma protection, à tout moment et à tout endroit car je sait que jamais vous ne bafouerez mon nom. »

Le cœur rempli de fierté, le troll s’agenouilla devant l’élémentaire.

« Maître, que puis-je faire pour vous ? »
« Kaamocz, je veux que tu rapportes à tes amis tout ce que je t’ai dit. Dis leur que je serai toujours là pour eux. Mais dis leur aussi de toujours rester fidèle à moi et aux autres membres de la guilde. Et maintenant, vas… retourne dans ton village. Apprécie chaque instant comme tu as apprécié ma rencontre. Fais-en profiter ton entourage mais n’oublie jamais cette phrase :

Le Sablier restera soudé aussi longtemps que ses membres croiront en eux. »


FIN

Voilà j'ai remis la fin de l'histoire vu qu'elle était sur l'ancien forum et pas sur celui-là.

Comme ça les nouveaux pourront la lire aussi même si maintenant elle date.

Bravo quelle écriture !! Le suspense était là et quel dénouement !! J'ai adoré lire ton récit, on arrive très bien à s'imaginer les décors. Petit truc , je trouve que cela manque de combat mais apparemment tu as mit l'accent sur une quête et pas sur une croisade. De plus il est question de l'honneur que l'on porte à la guilde et à chacun d'entre nous alors bravo encore pour ce beau texte.

ah vi, très agréable à lire!